Le Maire avec le Président de Région au lycée : une belle opportunité pour appuyer les projets seclinois
Ce n’est pas tous les jours que le Lycée Professionnel des Hauts de Flandre accueille le Président de la Région… des Hauts de France ! Jeudi 5 novembre, à l’heure du déjeuner, Xavier Bertrand est arrivé en toute simplicité sur le parvis de La Mouchonnière où l’a accueilli François-Xavier Cadart, Maire de Seclin et Conseiller Départemental, qui avait beaucoup de projets à évoquer, ainsi que toute l’équipe encadrante du LP : Nathalie Dayon, Proviseure, Nathalie Carlier, Proviseure adjointe, et Claire Pauwels, intendante. « Rien de tel que de venir sur le terrain pour se rendre compte des contraintes des lycées en matière de protocole sanitaire à respecter par exemple. C’est pourquoi je suis venu ce midi au Lycée Professionnel de Seclin pour échanger sur la restauration scolaire », expliquait le Président de la Région, qui est même resté déjeuner sur place, avec la direction et le Maire, au milieu des élèves.
L’occasion pour Xavier Bertrand d’apprécier les trésors d’imagination déployés par la direction du lycée pour assurer une sécurité sanitaire optimale, puisqu’aucun foyer de contamination n’a jamais été à déplorer au lycée de Seclin. « Chaque élève doit inscrire le numéro de la table où il a mangé, ainsi on pourrait retracer les cas contacts le cas échéant », expliquaient en effet la Proviseure et son équipe. « Une très bonne idée à dupliquer dans d’autres lycées », notait Xavier Bertrand.
Plaidoyer pour les grands projets seclinois
Une belle mise en lumière du LP, de notre ville, et une opportunité à saisir pour le Maire, dans le but de défendre les grands projets seclinois : « Nous avons évoqué avec le Président de Région la rénovation de la salle des fêtes, le réaménagement du Parc de la Ramie, l’Hôpital Marguerite de Flandre, la rénovation-extension des écoles de La Mouchonnière… Sur tous ces sujets, Xavier Bertrand est ouvert. De notre côté, nous allons accélérer pour obtenir un maximum de subventions », insistait François-Xavier Cadart.
